Selon le rapporteur, le point le plus important réside dans le fait que les Espagnols et les Italiens ont choisi de définir clairement dans un texte de loi l’organisation de leurs forces de sécurité nationales et locales.
Dans les deux pays également, une structure administrative de coordination a été créée dont la mission est de coordonner les opérations mais aussi d’être le point d’entrée pour les relations avec les interlocuteurs étrangers ou communs aux forces de sécurité.
Pour Philippe François, les exemples espagnols et italiens ouvrent un vaste champ de propositions pour réfléchir à l’évolution du dualisme police-gendarmerie en France.