Pour le Président du groupe UMP du Sénat, "le vote des Français est peut-être une sanction, il n’est, en aucun cas, une adhésion à une politique alternative car, de son propre aveu, l’opposition n’a ni programme, ni recettes à leur soumettre.
Il a indiqué que "certaines réformes ont été parfois mal comprises, faute d’explications claires ou d’une concertation préalable suffisante" ; "Pour autant, nous ne saurions, sous peine de nous engager sur la voie du déclin, renoncer à abolir ou à changer des politiques ou des pratiques qui entravent notre développement".
Josselin de Rohan a assuré le gouvernement du soutien de son groupe : "Nous mesurons la complexité de votre tâche et nous vous savons gré du courage et de la ténacité dont vous faites preuve pour la mener à bien.
Malgré le dénigrement et les attaques injustes dont vous avez fait l’objet, vous avez maintenu le cap".