Pour installer la maison de la Francophonie, l’État français s’apprêtait à mettre à disposition de l’Organisation internationale de la francophonie un immeuble, à titre gracieux pour une durée de trente ans.
Adrien Gouteyron (Haute-Loire) inquiet du coût de cette opération, en raison de l’importance des travaux à engager engageait le gouvernement à trouver d’autres locaux.
Suite à la publication du rapport de la commission des Finances, le secrétaire d’Etat à la Coopération et la Francophonie, Jean-Marie Bockel a affirmé hier, mercredi 18 juillet, que le projet serait revu.